Dans le top 10 quotidien des séries les plus visionnées en Belgique, « Master of the House » vient renforcer le catalogue international de Netflix. Une série qui en vaut le coup d’œil.
De quoi ça parle ?
Rungroj, richissime diamantaire, perd la vie au sein de la maison familiale après une chute « accidentelle ». Ses héritiers ainsi que sa nouvelle épouse (une domestique de la famille) vont s’entre-déchirer. Entre lutte de pouvoir, question d’héritage et pressions personnelles.
Sortie le 18 juillet dernier sur Netflix, la série « Master of the House » accentue la vague des shows asiatiques. Cette série en sept épisodes toute droite venue de la Thaïlande est un étrange mélange de thriller, un peu à la « Succession », mais possède un air de soap, à l’image de « Dynasty ». Un cocktail explosif aux multiples rebondissements.
Chaque épisode a son lot d’intrigues, de « poignards » dans le dos entre les personnages. Outre ses rebondissements, le casting est pour le moins haut en couleur. On s’y perd quelque fois, surtout avec les différences d’âge quelque peu surréalistes. A côté du casting, les décors sont sublimes et mettent en exergue les différences sociales entre la famille richissime et la condition des domestiques. Derrière ces derniers, se pose une relation malsaine et tyrannique entre eux et leurs supérieurs.
Une extravagance dosée
Comme pour justifier une extravagance qui ne s’étiole au fil des épisodes, la musique renforce le caractère soapesque de cette série télévisée. Ainsi, le mélange de thriller et de soap est bien égal tout au long des sept épisodes et ne manque pas de rebondissements.
Les fans du genre devraient apprécier « Master of The house », une série thaïlandaise qui trouve une certaine mesure dans son extravagance.
A voir sur Netflix.