Baraki, Barlos, Baraki de kermesse… chacun a son petit nom bien belge pour définir une catégorie de personnes qui ne rentre pas dans le moule si on peut dire… (oui on est très fort en diplomatie chez Streamnews)
Un baraki c’est forcément belge
Bref tout le monde en connait et personne ne veut en faire partie. Le Baraki est sympa, ordinaire limite vulgaire avec des goûts vestimentaires et capillaires que seul lui peut apprécier. Il possède également souvent un accent à couper au couteau peu importe qu’il soit bruxellois, liégeois ou borin. Et oui car si on ne vous l’avait pas dit, et bien un baraki c’est forcément belge.
Je vous rappelle tout de même que c’est un belge qui vient de remporter le championnat européen de la coupe mulet… Ca ne s’invente pas !
Le Baraki méritait d’avoir une série bien à lui qui le mette à l’honneur. Julien Varagas et Peter Ninane ont alors créé « Baraki« . Vingt épisodes qui se dégustent comme un bon cornet de frites
Le Pitch
Lorsqu’il apprend qu’il va devenir père, Yvan va tout faire pour devenir une meilleure version de lui- même. Et pour l’aider, il peut compter sur le soutien indéfectible de son clan : la famille Berthet.
La famille Berthet, c’est Jess la jeune championne de boxe, Timmy l’adolescent aux penchants transgressifs, Larissa la mère de famille protectrice et tonitruante, et surtout Didier, son frère de coeur, passionné de tuning SPL et par dessus tout de Cynthia, sa queen girly, sexy, avec laquelle il forme le couple le plus explosif de Marsoux. Malheureusement pour Yvan, un trafiquant de drogue local, un flic revanchard, une belle-mère machiavélique et un bourgmestre véreux en ont décidé autrement.
La belge attitude
Cette série 100% belge a tout pour plaire avec ses personnages délurés et ses dialogues à l’humour décapant.
« Baraki » est à découvrir dès à présent en intégralité sur Auvio.