L’univers Terminator s’agrandit à nouveau. Le 29 août, Netflix lance une série animée sur les robots maléfiques. Cette fois, Terminator prend une tournure japonaise, et l’histoire se déroule principalement à Tokyo.
Un nouveau départ…
Dans un monde post-apocalyptique, les derniers survivants de la race humaine combattent une armée de robots impitoyables, dirigée par le programme Skynet, dont la mission est d’exterminer toute l’humanité. Depuis qu’Arnold Schwarzenegger a incarné The Terminator en 1984, le robot squelettique au crâne de mort et aux yeux rouges brillants est devenu un élément incontournable de la pop culture. Cela a marqué le début d’une guerre entre le bien et le mal qui a captivé le public pendant des décennies.
La dernière histoire de Terminator remonte à Terminator : Dark Fate en 2019, qui a reçu des critiques mitigées. Terminator Zero (2024) ne se fait donc pas attendre : à peine 5 ans après Dark Fate, Terminator est réinventé dans un style japonais. Est-ce un nouveau départ pour la franchise, ou risque-t-on de recycler de vieilles idées ?
…ou la même histoire ?
Ce n’est pas la première fois que l’univers Terminator reçoit une série. Entre 2008 et 2009, la chaîne de télévision FOX a diffusé Terminator : The Sarah Connor Chronicles, une histoire se déroulant après Terminator 2 et suivant les aventures de la résistante Sarah Connor et de son fils John.
Terminator Zero (2024) se concentre sur une série de nouveaux personnages, donc pas de John, Sarah Connor ou Kyle Reese. À la place, l’histoire concerne un certain Malcolm Lee, qui développe un programme d’IA capable de rivaliser avec Skynet. Un soldat du futur doit protéger Malcolm et ses trois enfants contre un robot qui les pourchasse. De nouveaux personnages, mais une intrigue qui semble étrangement similaire à celle du premier film Terminator.
Terminator en style anime n’a jamais été fait auparavant. Avec de nouveaux personnages et le Japon comme décor, cette série a le potentiel de redonner vie à la franchise Terminator.
Par Joachim Ferier.
