Après le succès de la série d’animation « À découper suivant les pointillés », Netflix et Zerocalcare remettent le couvert avec « Ce monde ne m’aura pas ». Une série en six épisodes, une comédie noire entre réalité et créativité.

De quoi ça parle ?

Dans un quartier de Rome, de fortes tensions naissent autour d’un centre pour réfugiés. Dans le même temps, Zerocalcare tente d’aider un vieil ami qui a fait son retour dans le quartier après de nombreuses années d’absences.

 

Pas de temps mort dans cette série qui fait suite à « À découper suivant les pointillés ». Le fil conducteur principal est assez simple et tourne autour d’un centre de réfugiés qui fait polémique. Toutefois, la qualité des épisodes réside dans l’arc narratif qui se construit. Les personnages évoqués sont multiples et tous sont décortiqués avec empathie et sans critique excessive.

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A travers les yeux de Zerocalcare, un auteur de BD, en crise existentielle constante, la société italienne de l’époque est largement évoquée et critiquée avec humour. Entre métaphores loufoques et discours excentriques. Le tout soupoudrés de références à la pop culture.

De multiples enseignements

Plus qu’une comédie noire et dramatique, « Ce monde ne m’aura pas » se distingue par ses multiples enseignements. Sans pour autant plaire à tout le monde, les six épisodes de cette série caustique sont disponibles depuis le 9 juin sur Netflix.

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